Author Archives: lagrandeblonde
Ces petits riens…
Il y a des petits riens qui font du bien, des petits riens du tout qui font déjà beaucoup. Ces petits riens qui ne sont pas grand’chose vont, souvent, très bien en petits bouquets de riens… Et ça fait du bien, ces petits bouquets de rien du tout. Alors comme ça, rien que pour ça, hop ! voilà un petit bouquet de petits riens. Comme ça, pour rien.
- Observer les étoiles, dans le backyard, dans une piscine d’eau thermale ou tout au bord d’un lac bleu, si bleu, si clair qu’on pourrait presque le croire laqué de frais, laqué de faux. Plisser un peu les yeux, guetter les étoiles qui pourraient filer, faire des vœux et savourer la brise qui joue dans ses cheveux,
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Waiting for the embers
(Well, aujourd’hui, on nageait plus dans le rouge vif que dans le vert…)
Ils sont semés un peu partout au bord des routes, ces panneaux en arcs de cercles, presqu’en arc-en ciel avec une flèche posée dessus, ces panneaux qui annoncent la couleur et les risques d’incendies. Et on y jette toujours un coup d’œil, histoire de. Histoire de se tenir informés et puis aussi, il faut bien l’avouer, histoire de dire « oh ! dis donc, t’as vu, on est passés à severe fire danger, c’est la première fois que ça arrive, c’est fou ! » et de frissonner un peu tout en se sentant fort à l’abri parce que bon, hein, quand même…
Le kekessé brille de mille feux
A Christchurch, le 31 décembre au soir, quand on chasse le feu d’artifice (et qu’on fait chou blanc), on tombe parfois nez à nez avec des surfaces inattendues qui offrent de bien jolis reflets de la ville et des nuages qui l’emmitouflent. Alors on s’arrête un peu, on sort l’appareil photo, on respire à pleins poumons l’air piquant du Pacifique et puis on repart à la conquête du firework furtif… Avant de retourner bredouilles à l’auberge de jeunesse.
A votre avis, kekessé donc que ces reflets fort sympathiques ?
Nos voisins les Kiwis
(Dis, quand c’est qu’on y retourne, hein, dis ?)
15 jours chez nos voisins les Kiwis, c’est absolument fantastique mais surtout absurdement trop court… Nous voilà donc revenus dans nos bouillantes pénates (39 degrés au thermomètre hier, 37 aujourd’hui et 36 demain, argh !) (plaignez-nous, les gens, plaignez-nous !) avec des souvenirs plein la tête, quelques coquillages dans nos poches (soigneusement nettoyés par la quarantaine) et surtout beaucoup, beaucoup d’itinéraires dans nos cartons de projets-de-vadrouille-parce-que-ça-serait-super-de-repartir-bientôt-voir-chez-les-Kiwis-si-on-y-est-tu-ne-crois-pas-et-puis-on-pourrait-y-retourner-en-hiver-aussi-et-partir-en-randonnée-sur-plusieurs-jours-et-et-et…
Mais 15 jours chez nos voisins les Kiwis c’est aussi :
Bons baisers de chez les Kiwis #2
Ou plutôt, bons baisers de retour chez les Aussies après deux semaines fantastiquement incroyables et merveilleusement géniales… Là tout de suite maintenant sans plus tarder, il y a de la lessive à faire, de la tente à étendre et des sacs de couchage aussi, de la documentation à trier et des sacs à vider. Et puis des courses à faire aussi, joie et bonheur dans nos petits cœurs de midinettes. Sans oublier de requinquer Jean-Rémi les vers de terre et leurs potes les tomates qui ont tous et toutes un peu dépéri de tristesse (et beaucoup de soif aussi, à ce qu’ils disent) (bande d’ingrats !). Et ensuite, promis, on s’attaque à la montagne de photos et de vidéos made in Kiwiland qui nous attend de pied ferme.
Et puis, tiens, bonne année ! On vous souhaite des fous-rires à la pelle, des découvertes par dizaines et du chocolat comme s’il en pleuvait.
Bons baisers de chez les Kiwis #1
Chez les Kiwis, on profite de paysages merveilleux, extraordinaires, somptueux, incroyables et mirifiques. Et on finirait presque par se croire parfois au pays des fées, à guetter les licornes, les lutins, les magiciens et, qui sait, les dragons… et le Père Noël ?
Joyeux Noël!
A vos marques, prêts, Kiwis !
(Joie et bonheur dans nos petits cœurs de vadrouilleurs)
Le gros-très-gros-sac-maison-sur-le-dos-qui-donne-des-allures-de-tortue-rhumatisante-à-son-porteur a essayé de se faire la malle au moins douze fois cette nuit, trop impatient de filer en vadrouille. Il a joué les Petits Poucets aventuriers, semant des restes de sable made in Western Australia sur son passage et sur la moquette. De quoi le suivre à la trace et le retrouver facilement, perdu dans le backyard à rêvasser aux étoiles entre deux pieds de tomate… C’est que le bougre, tout courageux qu’il soit, n’est guère téméraire : passé le backyard, qui sait ce qui l’attend ? L’aventure avec une paire d’humains sous les bretelles, c’est tout de même rudement plus sûr !
Thèse est ficelé facon gigot (quoi de plus naturel, en somme ?) sur son petit sac à dos, les yeux ronds, l’air ahuri dubitatif et les bottines plates. Le Lonely Planet sifflote de contentement à l’idée de voir enfin le pays dont il nous vante les mérites depuis des mois (si ce n’est pas ingrat, tout de même, la vie de guide de voyage…).
On a vérifié 3794022646849263 fois la liste des choses à ne surtout pas oublier, farfouillé autant de fois dans le sac-coquille-d’escargot qui s’était encore carapaté (non mais franchement !), soufflé de soulagement… et recommencé dans la foulée. Vous avez dit grands serins bizarre ? Comme c’est bizarre !
Ne reste cette fois plus qu’à filer chez nos voisins les Kiwis, fleur au fusil, polaire au dos, capuche au crâne, caméra au poing, Lonely Planet au bras, Thèse au côté et émerveillement aux yeux… Roooooooooooooad trip, baby!
Stay tuned, guys!
Strawberry on the pavlova
(Koala on the tree, shrimp on the barbie)
En Australie, on ne plaisante ni avec le barbecue ni avec les abréviations à tout va. C’est que ces deux éléments touchent à l’essence-même de la culture down under, à peu près à égalité avec le No worries et la vegemite. Ah ! les joies du barbie this arvo!
De quoi se tailler une place de choix dans le panthéon des expressions 100% aussie, forcément. Et de quoi aussi, pour le coup, assurer toute une cargaison de fous-rires aux non natifs du cru qui se demandent bien pourquoi, mais pourquoi donc ? on irait coller une crevette sur le crâne d’une poupée en plastique… Z’ont vraiment de drôles de mœurs, tout de même, ces Australiens !
Et en (20)12 images par seconde…
Suite du bilan de l’année 2012, en mouvement (parfois un peu tremblottant) et en rythme cette fois. Ces douze derniers mois, il y a eu…
* une escapade en South Australia, au milieu du désert, des ruines du Gahn et des mirages,
Les (20)12 coups de l’année
(Un an, beaucoup, beaucoup de kilomètres et encore plus de découvertes et de photos…)
(en attendant la suite !)
Toujours à la fin de l’année un bilan tu dresseras (et du chocolat tu boulotteras). Ainsi parlait maître Yoda. Et comme jamais petit machin vert et fripé tu ne contrarieras, si en andouillette transformé tu ne veux être, voici en douze photos et autant d’articles le bilan de l’année 2012 version Chercheurs d’Oz. Un plutôt joyeux fatras avec de la neige, du bush, de l’océan, des animaux trognons et même un peu d’acrobaties… Et toujours autant d’émerveillement et de bonheur !