Author Archives: lagrandeblonde
[vidéo] Wombats et merveilles
Toutes les bonnes choses ayant une fin, nous voilà (déjà) rentrés de notre périple victorien. Et c’était tellement bien qu’il a fallu attaquer immédiatement la vidéo, parce que. Parce que sinon, de toute façon, on repartait fissa en vadrouille.
Au menu, des wombats, donc mais aussi des paysages qui font se décrocher la mâchoire, des couchers de soleil magiques, des koalas peu réveillés (rendez-vous à 6:22 pour quelques secondes de mignonnerie insupportable), du parc national sans personne autour, du grand bol d’air pur et beaucoup, beaucoup de bonheur. Et aussi quelques coups de soleil pour cause de non port de chapeau/non étalage de crème solaire…
Et puis, last but not least, en invité d’honneur, notre dernière recrue, qui a valu tant et plus d’huile de coude et de jurons au LeGB mais qui nous promet également, après six mois de réparations acharnées, tant et plus de virées palpitantes ! Quel homme, ce LeGB, quel homme !
Pour les autres vidéos, c’est toujours par ici !
Bons baisers du Prom’
Coucher de soleil sur le Prom’. Bonheur, amour et pommes au four…
Wilson Prom’, qu’on se le dise, c’est fantastique. Des plages incroyables, des wombats (!), des boulders gigantesques, des wombats (!), du sable blanc qui couine, des wombats (!), de la nature sauvage, des wombats (!), des couchers de soleil qui laissent babas, des wombats (!), des zones d’estuaire qui ploplotent tranquillement et bouillonnent de vie, des wombats (!), des panoramas ahurissants, des wombats (!) et des mirettes qui en prennent plein la vue.
Vous l’aurez compris, on a vu des wombats et donc rempli avec brio notre mission Les Chercheurs d’Oz parlent aux wombats. Bonheur, cotillons et potiron, depuis le temps qu’on piaffait.
On a vu des wombats. A presque les toucher du doigt. Et on n’en est toujours pas revenus…
Mais cette fois, on est repartis plus au nord, pour chasser le koala sur une petite ile choupinette… Croisons les doigts !
(article ultra rapide en direct d’un portable) (le tout en essayant de ne pas utiliser d’accent parce que les accents quand on n’est pas sur l’ordinateur, c’est… difficile) (la technologie, c’est le mal) (parole de mamie LaGB)
Où est Charlie ?
Mais c’est vrai, ça ! Où est donc Charlie ?
Vivre en maison à Canberra, en un mot comme en cent, c’est fantastique. C’est qu’il n’y a que des avantages : un grand jardin, un hamac, un possum, plein d’oiseaux trognons, des bébés magpies qu’on voit grandir, des étoiles à portée de main, l’impression d’être presqu’à la campagne même en pleine ville, des fleurs à l’année, un grand shed pour les bricolages legbiens (et c’est peu de dire que LeGB a bricolé ces derniers temps) (c’est qu’on compte une nouvelle recrue chez les Chercheurs d’Oz et que le dernier arrivé a valu bien des suées et quelques litres d’huile de coude au McGyver de la maisonnée), plein de place pour les barbecues d’été et les brunchs d’hiver.
Life lately chez les Aussies
Hello ! Y a quelqu’un ?
*se débarrasse de quelques toiles d’araignée en passant, en profite pour aérer un peu le blog et cache la poussière sous le tapis*
[vidéo] The bliss therapy
Un week-end prolongé dans les Blue Mountains (Canberra Day, mon amour) (un jour férié rien que pour Canberra, si c’est pas merveilleux, tout de même), deux nuits dans la plus jolie des cabanes, façon maison de poupées et conte de fées, deux jours sous les étoiles exactement, bercés par le murmure des arbres. Deux jours de balades, des panoramas à couper le souffle, des lecture les orteils en éventail, des réveils chatouillés par les premiers rayons de soleil, des dinettes aux fromages, un massage fantastique, des siestes au gré du vent et des tasses de thé brûlant.
Autant dire qu’il a fallu nous déraciner lundi matin…
Pour les autres Oz movies, c’est toujours par là que ça se passe !
Vol au-dessus d’un nid de tortues
(La Réunion vue d’en haut, 26-12-2013)
Un réveil presque très tôt, à petits pas dans la maison encore endormie. Un croissant pas très bon mais un croissant quand même. Et puis, hey ! les croissants, de toute façon, il faut bien en profiter tant qu’on peut…
La route qu’on ne connait pas puis la route qu’on connait tant. Celle dont on aime le moindre rocher, celle dont la savane fait battre le cœur un peu plus fort, toujours. Un petit arrêt au Souffleur, parce que, juste parce que. Du bleu, du noir, de l’écume, un peu d’or et de l’arc-en-ciel qui s’éparpille en gouttelettes.
Phasme and curious
(si c’est pas du titre, ça…)
Hier matin, dans le petit crachin de la Great Dividing Range quand l’automne prend ses quartiers. Une pause dans le trajet en forme de petit-déjeuner, un parc national couvert de brume, un oiseau-lyre qui traîne sa plume nonchalamment. Le thermos qui sort de sa cachette, un chai latte tout douillet et puis, oh ! dis donc, t’as vu la brindille-là, qui est restée accrochée sur le bord de la table ?
In the (apple) flesh
Damned!
Il semblerait qu’on abrite un zombie-possum dans le backyard, bien calé dans le chèvrefeuille… Heureusement pour nous, il semble beaucoup plus intéressé par les bouts de pomme qu’on lui sacrifie tend chaque soir que par quoi que ce soit d’autre. A 20 heures 36 tapantes, il se cale sur son petit bout de charpente (gare à nous si on est en retard…), il tend son museau frémissant vers nous et il allonge ses mignonnes petites pattes avant loin, loin, aussi loin qu’il est possible pour attraper son innocente victime morceau de fruit. Le tout en essayant de ne pas tomber du toit (le zombie-possum est un peu pataud et donc, malgré tous ses efforts, pas vraiment effrayant du tout… A son grand désespoir, forcément. Un zombie croquinou craquant, ce n’est tout de même pas tres crédible).
Mieux encore, une fois son casse-croûte tout boulotté (en claquant du bec), malgré son envie de jouer le zombie-possum, le vrai, le tatoué, il quémande même une ou deux papouilles avant de retourner vaquer à ses occupations nocturnes. Vous parlez d’un zombie en carton…
Les grands et les petits
(En vadrouille à Jervis Bay, en mode mamans poule)
Ce soir, LeGB, LaGB et Gros Matou Chou vont se blottir sur le canapé, une couverture sur les genoux et du poulet magique dans l’assiette (le poulet magique, c’est comme son nom l’indique, tout bonnement magique parce que c’est 1- fantastiquement rapide à préparer, 2- rudement délicieux et 3- diantrement sain) (si c’est pas magique, ça…) pour regarder le premier épisode de la saison trois de Sherlock. Et ça, c’est la faute des Gamins, qui nous ont fait découvrir les deux premières saisons l’année dernière.
Quelques lieues sous la Terre
(dans les tunnels de lave, Ile de la Réunion, 27-12-2013)
Casques ? Casque !
Lampes ? Lampe !
Sac à dos ? Sac à dos !
Eau ? Eau !
Macatias et petits pâtés à la viande ? Macatias (j’ai tout boulotté les petits pâtés à la viande, pardon) (mais ils étaient trop bons, j’ai pas pu résister)
(l’histoire ne dira pas qui est l’auteur de cette phrase, pour d’évidentes raisons de confidentialité)
Pansements, boussole, fil d’Ariane, scaphandre ? Pansements, boussole, fil d’Ar… Ah non, ça, c’est pas la peine !
Filer dans les tunnels de lave (car oui, c’était bien de ça dont il s’agissait), ça se mérite, qu’on se le dise ! C’est que trainer ses guêtres dans les presqu’entrailles de la Terre, ça ne s’improvise pas tout à fait, mine de rien. Et particulièrement pas lorsqu’on a la chance de filer visiter les jupons de la Fournaise guidés par PapaLaGB…