(bienvenue chez les crocos!)

Dans la famille Chercheurs d’Oz, on a la peau sèche. Sèche, sèche même. Tendance crocodile qui aurait fricoté avec une pierre ponce dans un champ de chardons. Rien que ça, yep. Autant dire que le climat canberrien, c’est un peu notre kryptonite à nous qu’on a : en hiver, il fait froid et sec et en été, il fait chaud, certes mais il fait surtout très sec (cette semaine, on a littéralement l’impression de vivre dans un four) (on va finir par ressembler à des petites patates rôties) (quoique, petites, petites, c’est vite dit).

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(Et où LaGB manque de perdre une vertèbre. Ou deux)

Un vendredi soir à la paillasse, un peu las, épilogue d’une semaine marathonienne. Comme une envie de dorloterie qui pointe le bout de son nez, de ces envies qui vous fixent dans le blanc des yeux jusqu’à ce que vous cédiez. Et soudain, comme une illumination : mais c’est bien sûr ! pourquoi ne pas essayer le centre de massage qui vient d’ouvrir juste en face de notre pub préféré (enfin, de l’un de nos pubs préférés, force est d’avouer qu’on a des cœurs d’artichaut pubement parlant). Aussitôt dit, aussitôt fait, pipettes rangées, ordinateur éteint, LeGB appelé et hop ! direction City Center sous des trombes d’eau. Car oui, le vendredi soir canberrien, non content d’être souvent un peu las, a une fâcheuse tendance à être particulièrement arrosé. Plaignez-nous, les gens, plaignez-nous !

18 heures 23 : l’air conquérant et le dos en capilotade, nous voilà devant la vitrine. Paravents, bambous, jardin zen et jolis fauteuils, pas de doute, le stress accumulé ces derniers temps n’a qu’à bien se tenir, il va finir fissa les quatre fers en l’air sur le tatami. A cracher ses dents. D’ailleurs, si j’étais mon stress, foi de LaGB, je commencerais déjà à numéroter mes abattis. Simple conseil d’ami.
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(Sous vos yeux ébahis, grâce à de téméraires éleveurs, un vernis hybride voit le jour)
(Ma.P.I ou O.vala, le nom reste à choisir…)

Il y a de cela quelques jours, LaGB s’est faite taguer par 4 petits suisses dans un bol de riz. Et comme elle aime bien le riz, les petits suisses et ceux-ci en particulier, elle s’y colle (coller étant présentement le verbe qui s’applique le mieux à ce qui va suivre), le but du jeu étant de dévoiler ses sept péchés capitaux de salle de bains.

Donc, si tout va bien, d’ici quelques instants, tout, tout, tout, vous saurez tout sur l’vanity. Le p’tit, le cher, le vieux, le neuf, le fin, le rond qu’a un gros pot, tout, tout, tout, j’vous dirai tout sur l’vanity (pardon) (le détournement de chansons de Pierre Perret doit-il être considéré comme un péché capital ?) (et d’ailleurs, qu’en est-il de l’invasion tympanique et neuronale de nos lecteurs par des refrains collants ?) (hum… pour le coup –pardon- peut-être aurait-il fallu-s- choisir un autre adjectif) (et quid de l’abus de parenthèses, alors ?).

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(On dirait que la greluchite aigue a encore frappé…)

Il y a de cela déjà fort longtemps, on vous avait dressé le portrait des derniers arrivés dans notre salle de bains. Depuis, la famille s’est agrandie, au grand désespoir du LeGB qui lutte pied à pied pour conserver un minimum d’espace sur les étagères (en pure perte). C’est que LaGB prend très au sérieux cette mission de découverte et de caractérisation des produits de soins australiens. Non mais c’est vrai, quoi, chercheur un jour, chercheur toujours ! Aucune futilité là-dedans, simplement une démarche scientifique de qualité, soigneusement pesée et menée avec démesure. On ne le répétera jamais assez, plus la population étudiée est importante, plus les résultats sont fiables. Dont acte !

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(Il faut vraiment que je me tartine avec tout ça pour avoir la peluche soyeuse ? Tsss !)

Ah ! bonheur inégalé de changer d’hémisphère, d’océan, de langue et de repères… Ah ! joie immense de faire de chaque instant une découverte, de chaque jour une aventure et de chaque lendemain une nouvelle surprise… Ah ! félicité intense de voir fleurir chaque matin devant un miroir peu compatissant petits boutons, rougeurs et autres manifestations de mauvaise humeur en tout genre d’un épiderme un tant soit peu mécontent de ses nouvelles conditions de vie…

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(Foi de Thèse, avec Papaw, teint de rêve garanti !)*
Mon Papaw à moi est une vraie crème
Il fait partie des remèdes miracles

Queensland, années 1880. Thomas Lucas, docteur en médecine, botaniste et naturiste naturaliste de son état, tombe en arrêt et en amour devant un papayer. Il en est sûr, la papaye, c’est la vie ! Continue Reading →

Attention, article concentré en grelucheries et billevesées, des bandits femelles !, allergiques s’abstenir ! Continue Reading →