La sombre histoire du triste petit burger sans apostrophe

(Et bon appétit, bien sûr !)
(source)

L’Australian National University qui-est-rudement-pratique-quand-il-s-agit-d’aller-grignoter-un-morceau-parce-que-c-est-juste-de-l-autre-côté-de-la-route-et-que-le-choix-y-est-très-très-vaste (voire-même-un-peu-trop-à-en-croire-la-photo-du-jour) nous avait déjà fourni matière à fou-rire et petits ricanements fort malins il y a quelques mois de ça. Histoire de prendre soin de nos zygomatiques, les étudiants gérant l’un des cafés du Food Court ont donc décidé de récidiver, pas plus tard que ce matin. Au menu, un oubli d’apostrophe, un vol de G ou, pourquoi pas (soyons foufous, après tout, c’est mercredi), un ajout de S. Les propositions à la carte sont légion et le pouffement garanti sur facture. Allez, tous en chœur, merci les étudiants de l’ANU !
(LaGB envisageait fortement un chapelet de quelques jeux de mots très laids à base de necessity to get to the bottom of things mais LeGB, ce rabat-joie cet être raisonnable, a fait les gros yeux) (pour le coup, niet ! pas de jeux de mots laids) (tsss !).

6 thoughts on “La sombre histoire du triste petit burger sans apostrophe

  1. mariel

    hehe, moi j’avais pense au vol de G, mais maintenant que tu dis que c’est a l’ ANU, je pense juste que c’ est de l’humour DownUnder, laid-back, quoi :)
    et du coup, vous avez mange des schnitzel rolls??? ;)

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    • lagrandeblonde Post author

      Je pense aussi que c’etait fait expres. Et c’etait rudement drole, c’est vrai!
      Nope, on n’a meme pas tente les schnitzel rolls. Courageux mais pas temeraires :-D

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