Le kekessé a un petit creux

Le kekessé reprend du service… et repart chez les Kiwis, quelque part dans l’île du Sud, un après-midi de fin décembre, sur un sentier bordé de cascades sifflotantes, de mousses douillettes et de kéas affamés. A quelques centaines de mètres de là, à peine visible (mais néamoins à portée d’objectif) (LeGB, quel homme, tout de même), une drôle de forme qui se découpe… Mais kekessé donc, à votre avis ?
A : l’antre du yétikiwijoli, la version ailée et mignonne de l’abominable homme des neiges
B : Obi-Wan Kenobi
C : la bouche d’un torrent de glacier
D : la réponse D
E : la caverne d’Ali Kéa, un repaire de perroquets alpins sanguinaires, le sabre au bec, la serre conquérante et le port altier
F : Stéphanie de Monaco
G : un peu tout ça à la fois…

Le kekessé fait sa rentrée

Et il en pétille de joie, apparemment ! Mais à votre avis, ce kekessé qui pétille, qui pétarade et qui crachouille, qu’est-il donc ? Oui, kekessé t’y donc que ce kekessé-là ?
(vous remarquerez au passage qu’on joue décidement les aventuriers sans peur ni reproche, bravant le danger envers et contre tout) (comment ça, faut pas exagérer ?) (rabat-joie, va !)