Le complexe des dips
Dips, dips sur la table fleurissent, fleurissent
Dips, dips sur la table, c’est la fin d’la journée
Les crackers Arnotts croustillent sous la dent
Encore et encore, tout le monde en reprend
Betterave et tzatziki régalent, régalent
Betterave et tzatziki en guis’ d’apéritif
Les crackers Arnotts croustillent sous la dent
Encore et encore, tout le monde en reprend
La bière et le cidre pétillent, pétillent
La bière et le cidre pétillent sur la langue
Les crackers Arnotts croustillent sous la dent
Encore et encore, tout le monde en reprend
LeGB, LaGB testent, z’expérimentent
Semaine après semaine de nouvelles variétés
Les crackers Arnotts croustillent sous la dent
Encore et encore, tout le monde en reprend
Vous l’aurez constaté, les derniers neurones ont fondu, nos explorations woolworthiennes continuent encore et encore, c’est que le début d’accord, d’accord.
Pour être tout à fait exacts, la découverte des dips et autres trempouillettes made in Oz ne date pas d’hier… Un petit tour par Supabarn le lendemain de notre arrivée nous aura suffi pour tomber raide dingue de toi, oui raide dingue crois-moi, aucun dip ne m’fait ça comme ça en pâmoison devant l’incroyable rayon proposé aux amoureux des grignotis apéritifs. Depuis ? Hé bien, l’engouement ne s’est pas démenti : beetroot tzatziki (un petit bonheur rose bonbon, au goût doux et délicat, à peine sucré), baba ganoush (sorte de rougail bringelle/caviar d’aubergine totalement addictif) et chunky roasted capsicum (poivron grillé et noix de cajou avec une pointe de piment… Yummy !) côtoient chaque semaine dans notre frigo les plus classiques french onion (fromage frais et oignon jaune, simple mais fort sympathique) ou autre hommous (avec une petite lichette d’ail et de citron, du bonheur en boîte).
De quoi nous assurer de fréquents apéros sur le pouce, particulièrement appréciés comme petit repas de retour de champ d’essai sur les rotules, forts bienvenus également les soirs de flemme culinaire intense mais aussi tout simplement parfaits pour accompagner nos envies de découvertes des bières et cidres locaux (dictées, bien évidemment, par notre seule mission auto-assignée d’explorateurs et pas du tout par nos palais amateurs de saveurs houblonnées et de pommes fermentées…). D’ailleurs, ça ne serait pas l’heure de l’apéro ?