I predict a riot…
(Mouahahah !) (pardon) (mais tout de même, mouahahah !) (non ?) (vraiment ?)
On avait salué comme il se doit Nancy et ses bouchées mignonnes, gloussé comme de bien entendu devant les affiches piscinesques de l’ANU. Et puis ces derniers temps, les pépites s’étaient fait rares, plus guère de double sens croquignolet à se caler sous la dent, boring, boring, my dear! Il y avait presque de quoi désespérer…
Mais ce matin, hop ! sans crier gare, le gloussement lost in translation est revenu, fringant, le cheveu soyeux et l’œil pétillant, surgissant des pages du Sydney Morning Herald. Oui, le gloussement lost in translation est de retour (tremblez !). Suivi de près par son amie l’explication in French dans le texte pour les collègues qui ont tout de même sur le coup du mal à comprendre qu’une histoire de piquet de grève et d’échec de négociations soit propice au fou-rire. Bloody Frenchies !
je tombe sur la page d’accueil du Sydney Herald, je trouve pas le lost in translation….
Oups! Repare ! Le lost in translation est reviendu…
huhuh C’est un kiwi francophone qui a implanté cette usine en australie
Ces kiwis, decidement