Ben phoque alors !
(Quoi ? C’est déjà l’heure de se lever ? Oh non! encore 5 minutes, juste 5 minutes!)
Ces derniers temps, le Chercheur d’Oz a une très légère tendance à jouer les phocidés de salon, la palette natatoire en berne, le cheveu plat et le cerne bleuâtre de rigueur (mais que fait donc Brigitte Bardot ?). La technique du regard mi-désolé, mi-outré jeté au réveil qui s’égosille est dorénavant parfaitement maitrisée tout comme le lancer d’oreiller sur ledit réveil. On envisage d’ailleurs très sérieusement de se présenter aux prochains Jeux Olympiques de rendormissement en deux secondes douze option couette jusqu’au sommet du front, enroulement façon rouleau de printemps et pli de drap sur la joue.
Il y a des tumbleweeds et un vent de western qui jouent dans le frigo, la vaisselle se sent délaissée et le Lonely Planet, on n’en parle même pas. Il n’y a guère que les tomates et Jean-Rémi les vers de terre qui ont droit à un minimum d’attention… De quoi ravir les moutons qui poussent sur le plancher et les araignées qui tricotent au plafond. Non vraiment, vivement les vacances !
On dirait moi…
Phoques de tous pays, unissons-nous…
ah ben ça alors … comme ça résonne en moi ça … bon, pas les moutons et les araignées (aime vraiment pas la poussière et encore moins les bébêtes galopantes)mais chez moi c’est une grade flemme culinaire; chacun son phoque !!!
On a une tolerance certaine pour les moutons. Les bebetes, bah !on fait avec… Mais oui, chacun son phoque, chacun son chemin (pardon)