(Rhum ? Quelqu’un a dit rhum ? Où ça, où ça ????)

Nouvel épisode de la série « Les Chercheurs d’Oz soignent leur foie découvrent les produits locaux » et pas des moindres… Après plusieurs semaines (12 pour être précis) à n’expérimenter que les bières, cidres et vins locaux, l’heure est venue de partir à la recherche du rhum qui fera nos apéros, la fleur de canne au fusil et le tonneau en bandouliere.

Une fois arrivés chez Dan Murphy (ou le labyrinthe à bouteilles) (il faudra qu’on prenne le temps de vous expliquer le fonctionnement de la vente d’alcool ici), horreur ! malheur ! Point de Charette à se caler sous la glotte ! Un peu charette désemparés car ayant promis punch et bananes flambées à nos estomacs intenables nos invités, nous avons opté pour un rhum local, après moultes tergiversations, louvoyant entre pourcentages d’alcool parfois ridiculement bas (37%, 40%, 50%, 59% ou 65%), ajout ou non de caramel et étiquettes plus ou moins jolies (on a les critères de choix qu’on peut, n’est-ce pas ?). Autant vous dire qu’on avait la gueule de bois avant même de déboucher quelque bouteille que ce soit…

N’écoutant que notre courage, nous avons néanmoins préparé un punch, couvant notre nouvelle acquisition du regard circonspect de rigueur en pareilles circonstances. Et adopté les mines réfléchies de bon aloi au moment de la dégustation. Et alors ? Qui de Bundy ou de Charrette saura ravir les papilles assoiffées intransigeantes des Le/aGB ?
*roulement de tambour*
Vous le saurez dans le prochain épisode, on n’a pas encore suffisamment testé pour être totalement sûrs de nous. Maitriser la manipulation du Bundy Rum nécessite en effet un certain entrainement… On n’a pas fini d’avoir des courbatures (qui a dit mal aux cheveux ?)