There’s a land that I heard of once in a lullaby
Il arrive parfois, à force d’attente patiente, bien cachés sous quelques fougères, façon commando, l’appareil photo aux aguets et le museau tartiné de feuilles, il arrive parfois qu’on puisse surprendre l’arc-en-ciel dans sa tanière, le pied au frais et le ruban chatoyant. Et dans ces cas-là, on est forcément rudement fiers. On en oublierait même presque les heures passées à grelotter couverts d’humus (plaignez-nous, les gens, plaignez-nous).
Après ? Après, ne reste évidemment plus qu’à s’aventurer à flanc de falaise pour aller saluer la version aussie du leprechaun, Akubra vissé sur le crâne et bottes en peau de mouton aux pieds. A moins qu’on n’opte pour un chocolat chaud siroté au coin du feu. Les leprechaun attendront bien le prochain arc-en-ciel, non ? Les marshmallows, en revanche, rien n’est moins sûr… Au chocolat chaud, et que ça saute !
Merci ! Merci ! Merci !
De rien, de rien! Merci au LeGB patient, en fait (moi, je pioncais sur une table de massage a ce moment-la) (et c’etait bien!)
Et y’avait des licornes aussi ?….
Yep, a paillettes ! Et je ne parle meme pas des Bisounours qui descendaient la falaise en rappel…
Trop de la chance.
Superbe! On s’attend à voir dépasser des bouts de museaux de bisounours!
Ah mais on les voit! Ils depassent de la cascade, la, au bout de l’arc-en-ciel