Boston calling

Après deux conférences et un meeting, 14 heures de décalage horaire, environ 70 heures de présentations et de discussions en tout genre passées à grelotter dans des salles fichtrement trop climatisées, sans quasiment voir le jour forçat de l’amour ou même prendre l’air (plaignez-moi, les gens, plaignez-moi), ça y est, c’est enfin la quille ! Ou presque, il reste encore un séminaire à donner et un labo à visiter demain.

Mais en attendant, le programme des prochaines heures est simple : balade au hasard le nez au vent, sieste et farniente. Rien que d’y penser, il y a comme un petit sifflotis de bonheur dans l’air…

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